Ma mère est une sirène
où les mots sont parfois comme les poissons, difficiles à pêcher...
"La mer aspire Thomas et l'enfant tombe dans l'eau. Il se laisse descendre sans chercher à se débattre. Il va rejoindre sa mère. L'eau n'est pas froide malgré la tempête. Une fois en dessous, elle a la même température que celle du bain. [...] Si Catherine est une sirène, il est un presque-poisson." Page 25
De Benoît BROYART et LAURENT RICHARD
OSKAR éditeur